L’univers à portée de main, Christophe Galfard

Newton, Einstein, Huysmans, Marie Curie, Maxwell, pour les plus connus.

Et d’autres moins connus par le grand public comme Otto Hahn, ont contribué par leur intelligence à faire avancer nos connaissances de l’infiniment petit et de l’infiniment grand afin de comprendre le fonctionnement de notre univers.

Mais est-il possible de donner un sens à notre existence ? L’auteur fait vivre ce qu’il appelle des expériences par la pensée. On ne sort pas indemne de la lecture de cet ouvrage scientifique habilement vulgarisé de manière à faire réfléchir n’importe quel lecteur qui s’interroge un peu sur son sort. 

J’ai relu ce livre. Il faut que je reprenne des extraits. En ce moment je fais une fixation sur la particules élémentaires. C’est ça notre vérité.

Le noyau d’un atome est constitué de nucléons (protons et neutrons).

Le nombre de nucléons se note A. A s’appelle « nombre de masses ».

79
     Br : l’atome de brome est constitué de 35 protons, 35 électrons et (79-35=) 44 neutrons.
35

Les électrons sont des particules élémentaires pas les nucléons.

Le proton est lui-même composé de trois particules: deux quarks « up » (généralement appelé « u » sur les schémas) et un quark « down » (particule « d »). Comme pour le neutron, ces quarks qui composent le proton sont reliées entre elles par des « gluons » (des bosons de charges électriques nulles).

Les protons sont présents dans le noyau atomique, éventuellement liés avec des neutrons par l’interaction forte (le noyau de l’isotope le plus répandu de l’hydrogène, H+, est un simple proton) ; le proton est également stable par lui-même, en dehors du noyau atomique.

Alors que les particules élémentaires qui constituent la matière (leptons et quarks) sont des fermions, les bosons élémentaires sont vecteurs de force et servent de « colle » pour lier la matière.

Laisser un commentaire